vendredi 17 décembre 2010

L'enfer, c'est d'avoir perdu l'espoir.

Il était une fois une jeune fille de 15ans nommée Bonnie. Un beau jour, le 1er de Novembre, cette jeune fille, qui s'était promis de ne plus tomber amoureuse pour ne plus souffrir, échangea un baiser avec un jeune garçon, Clyde. Depuis ce jour, et ce pendant 19 jours, Bonnie et Clyde riaient, s'amusaient, s'embrassaient et plus si affinités. Ils s'aimaient dans les parcs cultivant la passion, sous les porches tels des mendiants de l'amour, en cours apprenant à s'aimer. Plus les jours passaient, plus Bonnie s'attachait à Clyde, ce n'était surement pas de l'amour mais elle l'admirait; pour sa beauté, son intelligence, son charisme, son être, tout était parfait chez lui, tout : il était parfait. Bonnie elle n'avait rien pour elle, rien pour plaire à son ange. C'est pour cela que chaque jour, elle travaillait, fesait des efforts, se dépasser pour être à la hauteur. Elle aurait tout fait pour lui, capable du pire comme du meilleur.


Puis un jour, Clyde dit a Bonnie que c'était fini, sans raison il mis fin à leur relation et au bonheur de Bonnie. Depuis ce triste 19 novembre, Bonnie a commencer à sombrer, déjà qu'avant elle était au bord du gouffre, sans son ange elle y a plonger, la tête la première dans un verre de vodka, se noyant dans les plaisirs de la défonce. Elle aurait tout fait pour lui, capable du pire comme du meilleur. Le meilleur ne pouvait être qu'avec lui alors elle a choisi le pire. Adieu petit être fragile, sans ton ange tu n'es plus rien. Ne t'inquiète pas, tu ne lui manqueras pas; même sans toi, il est tout, sans lui, tu n'es plus rien. Avant lui, tu étais au bord du précipice, prête à sombrer; après ces 19 jours de bonheur à ses côtés et ces mois d'addictions, ton ange a réussi à te faire sauter. Il a suffit d'un verre de trop mélangé à ta codéine d'amour et tu as connu le vide. Adieu chérie, ne t'inquiète pas, je demanderais à ton ange de t'enterrer.

1 commentaire:

  1. L'amour est bien chose compliquée.
    Après tout, on nait seul, on meurt seul, pourquoi ne pas vivre seul puisque la vie à deux n'a pas son équilibre.
    Heureusement, le temps fait bien son œuvre et on fini toujours par tout reconstruire, par se reconstruire. Parfois il faut juste laisser les choses se faire d'elles-mêmes.
    Soyons positifs, tout ne se fini pas en catastrophe.

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