dimanche 21 novembre 2010

J'ai juste besoin de ta présence, le reste n'a plus vraiment d'importance.


J'y ai cru tu sais, j'ai cru que pour une fois ça aurait put être beau et simple. J'ai cru que j'aurais pu être enfin une fille bien avec un mec, j'ai essayée mais tu ne m'as pas laisser le temps de te prouver que je ressentais de l'amour pour toi. Je ne l'avais pas encore compris, avant que tu arrêtes tout, sans raison. Tout allait bien, presque. Certes depuis quelques jours je voyais bien que tu étais distant et je m'attendais a ce que tu parte. Je l'ai su car moi aussi j'étais comme ça avant et puis je t'ai connu, j'ai appris a t'apprécier, a rire avec toi, a être à tes cotés, à t'embrasser puis un jour j'ai compris que je commençais a t'aimer. En me rejetant, tu as amplifier ce que je ressentais pour toi. Tu sais, moi, plus on m'aime plus je fui, plus on me fui plus je t'aime. Je n'avais jamais connu ce que pouvait être une vrai relation, une relation sans que je fuie et que je rejette celui qui était être censé être mon copain. J'ai cru en nous deux tout en pensant que ça ne durais pas. J'ignore pourquoi je doutais de toi mais je le sentais et j'avais raison. Je te le disais, j'ai toujours raison et encore une fois je te l'ai prouvé malgré moi.

J'ai l'impression que ça aurait put aller plus loin, qu'on aurait put être heureux, que cette relation est inachevée. Tu as tout casser, en une seconde, je me sens frustrée si tu savais, frustrée de ne pas avoir eu le temps de te montrer qui je suis vraiment. Malgré tout je me dis que toi aussi tu n'as pas était totalement honnête, que ce n'était pas juste comme ça, une simple histoire de quelques semaines. C'est toi qui me fesais tenir, chaque jour ou je te voyais de loin, j'avais hâte qu'on se retrouve tout les deux, enfin. Tout ces instants ne seront plus, tout es fini. Rien que d'imaginer que tu ne me regardera plus, que tu ne seras plus mien, les larmes coulent. Cheri, je suis a bout, a bout de tout. Je ne veux que toi, rien que toi. J'ai vécu pour toi pendant ces quelques semaines, j'ai survécu pour toi. Tu me disais de tenir, pour toi; et je tenais encore et encore, je surmontais mes peurs et souffrances pour que tu sois fier de moi. Un jour tu m'avais dit que tu ne me quitterais pas, que si notre relation devait se finir se serait car je me serais lassée. Regarde nous, deux semaines à peine plus tard, nous ne sommes plus rien. Tu m'as quitté, plus jamais je ne te retrouverais un après midi, un sourire sincère au lèvres. Plus jamais.

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